Petit spectacle[PV Kumi]

La jolie et sage Kumi observe discrètement le manège du musicien et de la groupie, mais alors que suit la chute, et le départ précipité de la jeune fille, elle se retient de rire, plutôt comique comme situation. Cependant, elle se doute qu’il a du se faire mal. Il se relève peu après, ce qui signifie qu’il va bien, mais soit il joue la comédie pour attirer l’attention, soit il tente de cacher une douleur plus forte.

Préférant ne pas opter pour le risque, elle regarde la boutique et entre à nouveau, sans doute qu’ainsi, le musicien maladroit pensera qu’elle s’en fiche. Mais quelques instants suivant, elle sort à nouveau pour venir le voir, avec une tasse de café.

Le temps d’arriver à lui, elle écoute les paroles et lui tend la tasse lorsqu’il s’arrête.

- Bonjour Blackheart san, j’espère que vous ne vous êtes pas fait trop mal… Dommage, votre admiratrice s’est sauvée…

Elle tendra la main pour la glisser vers l’endroit de la supposée douleur, pour vérifier s’il n’y a pas de bosse ou pis, du sang, on ne sait jamais, sinon, il aura le plaisir d’une caresse des doigts de la demoiselle dans les cheveux, mais juste le temps de s’assurer qu’il n’y a rien de grave.

- Ce n’est pas votre jour habituel, si vous vouliez attirer mon attention, vous avez réussit, sinon, vous choisissez des endroits étranges pour faire la manche.

Karl attnedit un moment avant de tourné la tête vers la boutique de fleurs. Il fut déçu de voir que Kumi n`était plus la. Continuant a jouer son air, il pensa un moment a rentré chez lui cajoler ses chats et peut-être jouer avec. Il se rappella alors que Minette, le femelle du trio félin, attendait des petits et qu`elle avait un sae caractère depuis. Le père n`était pas les deux autres mâles puisque ces dernier étaient castrés dépuis trois ans. Ce qui chagrinait un peu Kotaro était qu`il ne pourra pas garder les petits, il deva les vendre ou les donner.

Soudain une odeur de café vint titiller ses narine, il tourna les yeux et vint une tasse de café dans une main. Il le va la tête et vit, Kumi, il sursauta un peu. Il prit la tasse et y rajouta un peu de creme avec du sucre.

-mia miana mémé mémé

*vais réunir mes mots, vais faire une belle phrase*

-merci- dit-il en souriant

Il but une gorgé du café. Il aimait pas le café, mais celuisi avait un gout différent ou c`était peut-être parce que c`était Kumi qui l`avais fait. Dans tout les cas, il aimait CE café.

-oh elle c`est pas bien grave, j`ai rien cassé, sa surprend juste un peu c`est tout-

Il sourit encore plus quand Kumi parcours sa tête a la recherche de blessure. Il aurait aimer que ce moment dure plus longtemps, mais il s`écourta trop vite. Il était un peu déçu, mis n`en montra rien.

-j`ai assez attiré votre ttention pour vous invité a venir voir des courses de moto ce soir ?

Il avait encore de a difficulté a croire qu`il venait de l`invité. Mais dansla vie il fallait prendre des risques et il avait la net impression que pour cette jeune femme il serait prêt a faire n`importe qu`elle follerie. Il but une seconde gorgée du café, il se tassa un peu jusqu`au bout du coffre pour laissé une place a Kumi au cas ou s`il elle désirait s`asseoir. Sa main frola les pétales de la rose blanche, il regarda brievement la fleuriste. Il se demandait s`il al lui donnait maintenant ou plus tard ?, mais plus tard sa serait quand ? Et si elle refusait son invitation, il aurait l`air d`un vrai poisson après. Il était dans une impasse et en plus donner une fleur a une fleuriste, c`est comme retourné un grille-pain au magasin parce qu`elle est défectueuse, alors donné une fleur a une fleuriste était un peu banale d`après lui. Il se sentit alors vraiment stupide et nul, il regarda a nouveau Kumi et lui adressa un bref sourire gêné. Il devait assuré maintenant, il avait lancé son invitation et il ne pouvait plus reculer.

Il posa la tasse vide devant lui et commenca a jouer doucement un air improvisé.

Kumi n’a aucune idée de ce qu’il se trame chez « Karl », ni de ce qu’il se passe avec les chats. Elle ne sait rien en fait, et il ne sait rien d’elle non plus. Au moins, le premier pas, aussi comique soit il, est fait.

Le café n’est pas amer, il est doux et sucré, un petit goût de cannelle et de noisette. Sans doute pas un simple café. Quoiqu’il en soit, Kumi de son adorable petit sourire, semble satisfaite que son café soit plaisant. Pour ce qui est de la crème, des petits plus en dosettes individuelles.

Les paroles incompréhensibles du jeune homme font plisser les yeux en amande de la fleuriste, mais alors qu’elle comprends, ensuite, qu’il bégayait, elle ne peut retenir un petit rire, moquerie mais sans méchanceté, au contraire, elle semble trouver cela adorable, il suffit de l’entendre dire par un simple petit mot mais qui en dit long.

- Kawaii ne !

Le voir réagir ainsi à son « auscultation » lui fait garder son sourire, mais, il ne faut jamais aller trop vite. Mignon certes, mais on ne sait jamais ce qu’il peut avoir en tête…

Cependant, l’invitation de Karl surprend la demoiselle. Oh bien sur, pas l’invitation en elle-même mais… le thème de cette demande… Pourquoi les motos ? Une course de motos ? Mais quel genre de course parle t il ? Une course officielle sur un circuit ou une course illégale dont elle a l’habitude de participer certains soir ? Pourquoi lui demander cela à elle ? En saurait il plus sur elle qu’elle ne le pense ? S’est il amusé à la suivre ? A l’espionner ? Serait ce un psychopathe ?...

Allons, Kumi chan, ne te laisse pas aller à la paranoïa !

Ainsi, le temps de cette réflexion, le silence peut sembler pesant pour Karl, d’autant qu’elle fait une tête étrange, comme si le ciel lui tombait sur la tête. Mais après près d’une minute, elle repose le regard sur le jeune homme avec un adorable sourire, à le faire craquer un peu plus, petit ange mais à l’esprit de démon.

- Oh et bien… pourquoi pas, ce serait avec plaisir, mais, tout dépends quel jour vous voulez aller.

Kumi préfères jouer le secret, le mystère, ce sera amusant de voir la réaction de Karl quand il découvrira, s’il le découvre, le vrai visage de sa « conquête ».

Pendant le long silencede Kumi, Kotaro s`entendait a un refut. Il pensait que la jeune femme cherchait une excuse pour refuser son invitation sans le blesser. Il fut réellement surpris qu Kumi accepte son invitation et sa se voyait clairement sur sn visage. Son visage qui exprimait l`étonnement complet se changea graudellement en un large sourire. Il s`était attendu a une raison bidon, du genre qu`elle devait prendre soin d`un membre de sa famille malade, son petit frère, sa mère ou son grand père, ou bien qu`elle avait aute chose de prévu avec des amie ou même qu`elle avait déja un petit ami.

Quand elle demanda quel jour il voulait l`invité. Il s`empressa desortir un petit calpin noir de la poche de sa veste, un peu comme ceux des inspecteur de police, mais personalisé. Le calpin était remplit de note complètement en désordre, mais que Karl semblait comprendre, normal puisque c`était lui qui avait écrit dans ce bloc-notes. Son écriture était soigné, mais la particularité des notes dans le calpin était que elles étaient écrit dans différentes langues. On pouvais voir les kanjis japonais sur une pages, une autre certain mot anglais avec plus loin quelque mot francais, il y avait même du Russe a une aute page. Mais Kotaro tournait si vite les pages qu`on pensait que l`une d`elle allait déchiré. Finalement il s`arrêtta sur une page écrit exclusivement en japonais.

-Il y une course de prévu ce soir sur Helm street, une autre dans deux jours et une troisième dans deux autre jour après. Pour les deux autres les dates peuvent changé a la dernière minute, alors le mieux serait de venir avec moi a celle de se soir. J`ai un copain qui connait quelqu`un qui connait quelqu`un qui connait quelqu`un qui organise les courses. dit-il en souriant.

Il referma son calpin d`un de poignet, mais garda son pouce sur la page au cas ou il devrait y retourner pour donner d`autre information a Kumi. Il hésitait a fixer une heure, s`il donnait trop tôt il paraitrait trop pressé, s`il fixait une heure trop tard il ferait paraitre qu`il se fichait un peu de Kumi et qu`il pouvait ainsi se permettre de changé d`avis a la dernière minute. Un rendez-vous est bien plus compliqué qu`il n`y parait, sourtout quand le lieu du rendez-vous ce situt sur les pistes de courses illégals.

Il n`y allait jamais vraiment souvent, il aimait les motos et les belles voitures, mais connaitre leur nompar coeur n`était pas son rayon. la seule marque de moto qu`il connaissait était la plus connut dans le monde, harley-davison. Et quand il y allait, il lui arrivait parfois de se battre. Faire des démonstration de ses talents en art martiaux n`était pas la chose qu`il aimait le plus faire.

-alors je passe vous prendre vers 10 heure ?

La question de la date semblait anodine, mais pour Kumi, elle a une énorme importance. Ce soir, heureusement, elle n’avait pas l’intention de concourir ce soir, mais pour les suivantes… Ce sera sans doute une autre affaire…

Elle sait, que Karl n’est pas un habitué des courses, elle ne l’y a jamais vu, et cette situation l’amuse un peu… Lui, qui ne semble pas s’intéresser à ces choses là plus qu’au temps qu’il fera dans trois moi en Amérique du sud, l’invite à aller voir une de ses plus grandes passions.

Elle se demande bien qui est cet intermédiaire qu’il connaît, ce soir, elle le sait, elle risque fort de se faire repérer et d’être démasquée…
Pas de grande importance, mais Kumi adore jouer au mystère, et si son secret est trop vite découvert, ce ne sera pas drôle. Elle préfère « berner » un moment ce beau jeune homme avant de lui révéler sa véritable nature.

Mais après tout, ce qui est excitant, c’est de se dire, que l’un et l’autre ont sûrement bien des secrets à découvrir réciproquement… quoique, elle l’ignore, mais son secret et moins « grand » que celui de Karl…

Le voir feuilleter son carnet l’amuse et l’intrigue aussi, elle l’observe beaucoup, l’admire aussi, car il est vraiment mignon, mais il faut plus que cela pour plaire à Kumi. Elle n’essaie pas de déchiffrer le peu qu’elle aperçoit, cela ne la regarde pas, mais cela l’intrigue tout de même.

- Ce soir… Hum d’accord…. 10 heures… je pense que cela ira, le temps que je ferme la boutique et que je rentre me préparer… mais il vaut mieux manger un peu avant d’y aller, je suppose qu’il n’y a pas grand-chose sur place…

Elle devra jouer de ruse pour sembler totalement extérieur à ce genre d’activité, ce sera difficile, car pour Kumi, les courses, les motos, la vitesse, c’est comme de mettre un enfant seul dans une confiserie.
Ne pas trop s’habiller de façon extravagante, rester exceptionnellement, la fille sage et innocente… oui, un vrai défi à relever.

- Il faut que je retourne travailler, vous pouvez venir un petit moment, nous pourrons discuter un peu sans que cela me gêne dans mon travail.

Kumi est un peu nostalgique de sa langue natale, car même si elle est née ici, c’est le japonais qu’elle a apprit en premier, alors, espérant ne pas choquer Karl, elle préfère maintenant parler en japonais, et puis ainsi, ce qu’ils se disent, ne risque que peu, d’être compris par les autres. Cela aussi l’amuse, si elle le veut, elle pourrait critiquer ou insulter les clients avec un grand sourire sans qu’ils ne comprennent.
Sur ses paroles, elle reprend la tasse de café et retourne vers la boutique qu’elle n’a que trop longtemps abandonnée, invitant Karl à l’y accompagner.

Kotaro rengea sa guitare et envoya lentement le coffre sur son épaule.

-Bien si vous voulez nous pourrons toujours allé au restaurants de mon oncle, il tient un petit restaurants pas loin de chez moi. Personne ne c`est jamais plaint encore de ses sushi

Son oncle, un type bizarre et amusant a la fois. C`était le frère de son père et il était en relation avec le clan, c`est lui qui s`occupait des visites des membres important du clan dans le pays. Il leur trouvait un endroit ou dormir, des clients, des lieux ou manger sans problèmes. Il s`ccupait de tout de A à Z. Et il fesait la même choses avec Kotaro, mais juste a moitié comme il lui avait demandé, en clair lui trouvé des armes et un appartement était suffisant pour Karl.

Il suivit Kumi dans la boutique, le parfum envahit rapidement ses narrines. Inutile de caché que l`odeur était agréable a sentir. Il se demanda si Kumi sentait les fleurs a force de tavaillé ici ?. Il avait envie de le savoir, mais il se retint. Sinon il aurait surement été trop lin et toute ses chances auraient partit comme un coup de vent.

Il but une autre gorgé d`eau et remarqua alors que sa bouteille était presque vide, il restait a peine un fond. Il haussa des épaules et but le reste d`un coup. Il jeta sa bouteille dans la corbeille et toucha doucement certaine fleur, le contact des pétales étaient légèrement différent que celle des roses. En regardant Kumi du coin de l`oeil, il admit facilement dans sa tête que les femme et les roses étaient semblables. Belle, douces, envoutantes, attirantes, mais approcher de la mauvaise façon et elle devenait dangereuse, leurs épines étaient douloureuse longtemps, mais on ne pouvait presque jamais résisté de recommencé, jusqu`a que leurs arme soient toute tombé.

-Sa fait longtemps que vous travaillez ici ?, dit-il en japonais.

Kotaro parlait le japonais courrament, chos normal puisqu`il avait passé une partie de sa vie au Japon. Il connaissait d`autre langue, sa mère voulait qu`il soit capable de communiquer avec n`importe qui dans le monde. Alors l`Anglais fut la première langue qu`il apprit a parlé, puis ce fut le Francais, le Russe, le Chinois et pour terminé le Coréen. Ce fut pas facile évidement, mais a force de patience Kotaro réussi a les apprendres toutes.

Dire que sous ses airs de garçon mignon, maladroit et doué avec une guitare ce cache un homme avec les mains taché de sans et la tête emplie de scene morbide de personne morte. Il cachait bien son jeu, mais qui dit qu`il le cache vraiment ?. Il n`est pas idiot et n`ira pas le crier sur tout les toit qu`il est un tueur à gages rechercher par la police japonaise pour vingt-huit meurtres et pour la disparition de quinze personnes.

Il pose son coffre a guitare contre le comptoir près de la caisse enregistreuse. De cette façon il a les mains libres et peut surveiller sa guitare de loin. il prend lentement sa fleur favorite et la colle contre son nez pour respiré le doux parfum. Il sourit et la remet où il l`avait prit.

L’oncle de Karl, elle le découvrira bien assez tôt. Elle y réfléchit et s’imagine déjà les taquineries du dit tonton envers le jeune homme en ce qui concerne la demoiselle qui l’accompagne. Mais cela, elle ne s’en soucie pas. Elle sait que dans chaque famille il y a au moins un excentrique… Ca l’amuse de penser que l’oncle est un peu du même genre que Karl, et cela la fait sourire, de s’imaginer ainsi plein de trucs…

Encore une fois, Kumi n’y répond pas de suite, et semble perdue dans ses pensées, alors qu’elle s’occupe vaguement d’une plante en pot. Ce qui la ramène à la réalité, c’est l’horloge qui retentit comme dans les anciennes boutiques européennes, Kumi adore ce sont métallique, alors elle ne s’en prive pas, car en plus de cela, son imagination déborde encore, le « ding » des vieilles pendules est souvent associés à la nostalgie, au passé, aux vieilles maisons, aux fantômes même.

Le regard revenant sur Karl, qui semble se plaire dans cette boutique, encore une question qu’elle évite de répondre de suite, elle préfère le regarder un peu, avant de le déranger, et lorsqu’il respire le parfum de la rose, alors elle s’approche de lui pour stopper son geste de replacer la fleur à sa place.

- D’accord, j’aimerais voir le restaurant de votre oncle. Et… si vous l’aimez, prenez cette fleur, vous l’avez touchée, vous l’avez respirée, vous l’aimez, alors prenez la, elle sera malheureuse si vous l’abandonnez.

Kumi est parfois un peu étrange, sa façon de voir les choses, c’est à se demander si elle parle réellement de la fleur ou d’elle-même… Qui sait ? L’ambiguïté est parfois amusante, la vie n’est qu’un jeu après tout non ?

- Trois ans, mais je ne suis pas toujours ici, je suis étudiante botaniste, entre autre, et je travaille ici pour payer mes études, enfin, quand je les reprendrais l’année prochaine… j’avais envie d’une année pour voir si je savais m’occuper des fleurs ainsi, car si je ne suis pas capable d’être une bonne fleuriste, inutile que je continue… Après cela… On verra, les plantes toxiques m’intéressent beaucoup…

Ah, eh bien, simple curiosité ou Kumi aimerait apprendre les plantes liées aux drogues et poisons ? Venimeuse demoiselle si on pense à cette éventualité. Et son regard est étrange… Mystérieuse jeune fille, qui à cet instant, ne dévoile aucun sentiment.

Cependant, Karl peut s’imaginer à son tour, que si il ne lui plaisait pas, elle n’accepterait pas, à moins, qu’elle soit trop gentille pour l’envoyer balader…

La main de Kumi est une caresse sur la peau de Karl, mais juste le temps qu’elle se rende compte du geste, et retire doucement la main. Les paroles prononcées la font sourire, et légèrement plisser les yeux, puis elle acquiesce un peu de la tête, comme si elle comprenait, ou pas, à la façon des japonais tout simplement, toujours ambigus ceux là…

Mais Karl a trouvé le moyen de ne pas laisser alourdir l’ambiance, ne pas rendre cela trop gênant, le fait de retirer les lunettes et la mimique qu’il fait, a son effet, et il a le plaisir de découvrir l’adorable rire de Kumi, presque enfantin aussi.

C’est bien cela qui est intéressant, même les plantes toxiques peuvent soigner… C’est prouvé… il suffit de savoir doser… Jouer avec la vie et la mort, sur de simples microquantités… Cela peut être assez effrayant…

Les nouveaux compliments de Karl la font encore sourire, et elle incline un peu la tête pour le remercier, mais elle n’ajoute rien, inutile de s’éterniser sur un sujet comme celui là, un compliment, on ne le discute pas, c’est ainsi…

Elle allait cependant répliquer quelque chose à son geste pour la fleur, mais elle s’en abstient, elle lui dira plus tard, si elle y pense, une petite boutade pour le taquiner, oui ce sera amusant.

A peine le temps de réagir, que déjà il s’en va, en espérant qu’il ne fasse rien tomber. Pour le peu qu’elle le connaît, il lui plait déjà beaucoup, mais, il y a encore beaucoup à apprendre sur lui…

Le voilà partit, alors qu’elle n’a pas eu le temps de lui confirmer pour le soir, ni de lui dire au revoir. Ce n’est rien, elle n’oubliera pas. Et la voici ainsi seule dans la boutique, à le regarder partir, la seule chose qui lui vient en tête à ce moment, est une chose étrange.

Mimant ainsi le geste d’accélérer une moto avec les mains, elle ajoute tout simplement…

- Bye-bye Cycle !

[topic terminé]